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marcel
Homme de 38 ans
Congo, Afrique
Brazzaville
                   
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 Dernière connexion : mardi le 13 août 2013
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statut : Célibataire
ville : Brazzaville
âge : 38 ans
anniversaire : 3 décembre 1987
orientation : Hétérosexuel(le)
ethnie : Noir
contact désiré : Rencontre
niveau d'études : Baccalauréat
religion : Protestantisme
poids : Athlétique
grandeur : 1,54m(5') à 1,60m(5'3")
couleur des yeux : Noirs
couleur des cheveux : Noirs
fumeur : Non
nombre d'enfants : Plus de trois
désire des enfants : Oui
apparence physique : Ordinaire
occupation : Employé(e)
situation financière : Correcte
signe du zodiaque : Sagittaire
jetons de visibilité : 2000

Mystères de l'amour... Un regard a suffi Pour éveiller mes jours Pour éclairer ma nuit. Merveilles de l'amour... Un sourire a séduit Et fait d'un troubadour Un amoureux conquis. Que viennent les beaux jours Qui sont à nous promis. Levons nos verres pour Porter toast à la vie. J'aime et je veux chanter. Adieu, adieu tristesse... J'aime et je suis aimé Et qu'importe le reste... J'aime et je veux chanter Toute mon allégresse Et de toi je ferai Ma reine, ma déesse. Un sourire, un regard Ont écrit ce poème Et sans aucun égard Ont signé d'un "je t'aime"

Les années qui sonnaient à l'horloge du temps Ont couvert les ébats de deux cœurs innocents Ont éloigné nos mains de nos corps impatients, Ont figé nos doux gestes, peu à peu, nous déliant. Dans le creux de mes mains, j'ai refait le dessin Du velours des caresses de la courbe de tes seins, En même temps que mes paumes, un frisson parcourant Satin de ton épaule, à nous brûler les sangs. Je te tiens, tu me tiens, par l'amour-lichette Le dernier qui aimera, aimera à perpette. Dans tes cheveux-cascades, j'ai replongé mes doigts, Puis j'ai séché mes mains aux chemins de ton dos, Qui frissonnant sans cesse me disait: continue! Emmène moi plus loin, fais moi toucher les nues. J'ai poursuivi ma route sur tes fesses délicieuses Qui ondulaient sans cesse, aux caresses audacieuses Que je leurs prodiguais, retrouvant les plaisirs, Trop longtemps confisqués, plus d'élans ni délires. Je te tiens, tu me tiens, par l'amour-lichette Le dernier qui aimera, aimera à perpette. Le contact fut la clé qui fit redémarrer Les moteurs en silence depuis tant de marées. Comme l'ébauche d'un peintre, laissée à l'abandon, Qui, en quelques retouches, en ravive les tons. Nos écrans de pudeur ont tombé leurs barrières, Pour mieux toucher du doigt l'émotion qui nous serre. Et je bois à ta source, un océan d'amour Et tu bois, dans mes yeux, le restant de mes jours. Je te bois, tu me bois, par l'amour-lichette Le dernier qui boira, boira à perpette.

Les années qui sonnaient à l'horloge du temps Ont couvert les ébats de deux cœurs innocents Ont éloigné nos mains de nos corps impatients, Ont figé nos doux gestes, peu à peu, nous déliant. Dans le creux de mes mains, j'ai refait le dessin Du velours des caresses de la courbe de tes seins, En même temps que mes paumes, un frisson parcourant Satin de ton épaule, à nous brûler les sangs. Je te tiens, tu me tiens, par l'amour-lichette Le dernier qui aimera, aimera à perpette. Dans tes cheveux-cascades, j'ai replongé mes doigts, Puis j'ai séché mes mains aux chemins de ton dos, Qui frissonnant sans cesse me disait: continue! Emmène moi plus loin, fais moi toucher les nues. J'ai poursuivi ma route sur tes fesses délicieuses Qui ondulaient sans cesse, aux caresses audacieuses Que je leurs prodiguais, retrouvant les plaisirs, Trop longtemps confisqués, plus d'élans ni délires. Je te tiens, tu me tiens, par l'amour-lichette Le dernier qui aimera, aimera à perpette. Le contact fut la clé qui fit redémarrer Les moteurs en silence depuis tant de marées. Comme l'ébauche d'un peintre, laissée à l'abandon, Qui, en quelques retouches, en ravive les tons. Nos écrans de pudeur ont tombé leurs barrières, Pour mieux toucher du doigt l'émotion qui nous serre. Et je bois à ta source, un océan d'amour Et tu bois, dans mes yeux, le restant de mes jours. Je te bois, tu me bois, par l'amour-lichette Le dernier qui boira, boira à perpette.



 
 
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